Herzlich Willkommen » pont vers le départ

Le marathon de Copenhague était dans mon journal depuis un moment. Depuis une course désastreuse à Londres l’année dernière, j’ai eu peur d’essayer de courir vite. J'ai donc couru quelques marathons avec des amis, à une allure détendue et concentré sur quelques ultras où l'accent était mis sur la distance plut?t que sur la vitesse.

Je suis retourné à Londres cette année pour participer à la course que j'aurais d? faire en 2014 - j'ai couru confortablement et apprécié l'ambiance - pour réparer ce qui n'allait pas. Mais cette sensation lancinante à l'arrière de ma tête était toujours là. J'avais Nike Internationalist Dames peur de pousser le rythme au-delà de 5 km.

Le marathon de Copenhague était suffisamment éloigné d’EcoTrail Paris (80 km) pour que j’ai pensé que je serais suffisamment rétabli pour pouvoir appuyer. Je me suis moqué de l’idée que j’étais en train de me ?former? pour Copenhague: ?Oui, je m’entra?ne pour un marathon en faisant quelques ultras?, mais c’était vraiment une fa?on de me soulager. Je ne suis pas bon avec la pression.

Puis, 10 jours avant la course, des doutes ont commencé à se poser: que faisais-je? Londres avait été horrible. Je n’ai pas couru vite depuis des mois, c’est ce qui m’a fait penser que je pourrais garder le tempo sur 26,2 milles. Je suis allé nager, j'ai lutté avec mon monologue interne et plus tard dans la journée, mon pied a refusé de fonctionner correctement. ?a me faisait mal quand je le fléchissais et ne me laissais pas descendre les escaliers. Mon Nike Tanjun Dames monologue interne a changé: ?J'ai raté ma chance. Tout se passait si bien. ?J'ai fait ce que tout le monde ferait dans cette situation et j'ai participé à un marathon d'automne à titre de rempla?ant.

Je me suis rendu à Copenhague avec Phil, Katie et son amie Kate. Nous avons loué un B & B Air à 200 m du début et de la fin de la course, mangé beaucoup de gateau, acheté beaucoup de bières d’après-course et pris quelques jours de repos avant la course. Mon pied s’était senti mieux et j’avais parcouru 10 milles lents le dimanche avant pour s’assurer que tout allait bien. Nous nous sommes installés avec un grand d?ner et un film dans notre appartement la nuit précédant la course, puis il était temps d'aller courir.

Phil m'a demandé la veille ce que je prévoyais de faire dans le marathon. Quel était mon "plan de course".

?Je ne veux pas finir de penser que j’aurais pu pousser un Nike Air Max 90 Mujer peu plus. Je me fiche de ce que dit le chronomètre, je veux finir en sachant que j’ai donné le meilleur de moi-même. Je ne veux pas cesser de courir vite. ?Mais je n’avais aucune idée de ce que cela traduisait en termes de stimulation.

Je me suis aligné derrière les ballons de cadence de 3 h 40 avec un plan vague qui me permettait de le dépasser progressivement en première mi-temps et de voir ensuite ce qui se passait à partir de là. La course a commencé et des ballons ont plané devant moi, de même que des milliers de têtes.

Nous avons traversé un pont et nous nous sommes dirigés vers le c?ur de Copenhague. La route était bordée de spectateurs et de points de repère, et nous aurions beaucoup de choses à voir le long du chemin. C’était un excellent itinéraire pour les touristes, mais pas très bon pour faire les cent pas. Au fur et à mesure que nous nous frayions un chemin autour de la ville, le groupe de cadence de travail occupé Nike Air Max 270 Damen devant moi ralentissait presque au point d’arrêter de tourner. Viennent ensuite les comptoirs de boissons et la combinaison de boissons dans des tasses et ne les laissant que d'un c?té de la route pour carnage - tout le monde s'arrête ou plonge dangereusement les uns devant les autres pour prendre un verre.

à cinq milles, j'ai commencé à accélérer et à progresser de manière à devancer le groupe de vitesse où je pensais que le terrain serait plus mince. Quelques kilomètres plus tard, je suis passé devant leurs ballons violets et j'ai trouvé assez d'espace pour continuer à courir dans les virages. Je suis passé à mi-chemin de l'objectif à 3:40 et avec le meneur de train à quelques centaines de mètres derrière moi. Je buvais à l’eau, mais les stations de boissons qui me manquaient commen?aient à s’infiltrer. Ma bouche était sèche et le soleil était dehors. Mes jambes étaient bien, le rythme était bon, tout allait bien avec mon corps mais maintenant je commen?ais à ralentir.

J'ai parcouru quelques kilomètres désespérés dans l'espoir que quelqu'un passe devant moi avec une bouteille d'eau pour me permettre de boire un verre. Mais cela n’est pas arrivé. Nous sommes arrivés à un point d'eau près d'un pont et je me suis arrêté pour prendre deux verres. Le groupe de rythme est passé devant moi et Nike Internationalist Mens j'ai marché lentement sur un pont qui, pour moi à ce moment-là, ressemblait à une montagne. J'ai pensé abandonner - pas sur la course mais sur la course rapide. Le groupe de rythme a disparu alors que je prenais mes jambes pour un jogging.